Rentrée Des Classes

Il me suce la peau du cou, je suis si bien enlacé dans ses bras, il m'a manqué, et j'avais plus que besoin de lui. Je le regarde droit dans les yeux, il fait frotter son nez contre le mien, et vient déposer ses lèvres contre les miennes, il n'a pas besoin de me demander la permission il a directement le droit à l'accès de ma bouche, sa langue vient taquiner la mienne, il est sur moi, j'en profite pour caresser son petit ventre, pendant que ses mains son poser sur mon torse.

Flash Back.

J'éteins mon réveil de la plus simple façon qui soit, un bon coup dessus afin d'arrêter cette sonnerie agaçante. C'est dingue comme j'ai l'impression de m'être assoupis pour me faire réveiller à peine plongé dans mon sommeil. J'avoue que je n'ai pas réussit à m'endormir avant quatre heures du matin au moins, sûrement le stresse, mais faut dire que j'étais préoccupé par la seule chose qui me rend nerveux. Le retrouver, enfin il m'a tellement manqué. Pendant toutes les vacances d'été j'ai du le voir trois fois.

La première fois c'était début Juillet pour qu'il me souhaite de bonnes vacances. On a passé la nuit à se câliner et à se dire que trois semaines de vrai camping ce n'était pas si long que ça. Mes parents sont des personnes qui aiment vivre au grand air, d'ailleurs pas étonnant que je vive dans la campagne plutôt qu'en ville. « La jeunesse est faite pour vivre et apprécier ces choses de la nature qu'on oublie en grandissant » Apparemment ils font ça pour moi. Seulement je déteste le camping, avoir passé trois semaines dans la forêt au bord d'un lac, pour pêcher, se baigner, et se faire dévorer par les moustiques, sans téléphone, ni ordinateur était une chose horrible. Mais je le fais pour mes parents, et aussi parce que je n'ai pas le choix, heureusement que j'avais apporté ma guitare pour me décontracter, j'ai pu beaucoup composer, d'ailleurs je lui ai écrit une musique j'espère qu'il appréciera.
La deuxième fois c'était à mon retour, il avait soigné mes blessures que j'avais récolté en tombant dans les buissons. Ses mains sont des vrais délices, j'en suis accro depuis qu'il m'a tendu sa poignée de main lorsqu'il s'est présenté à moi il y a déjà neuf mois.
La dernière fois que je l'ai vu c'était une semaine après mon retour, j'étais allé dormir chez lui, mais ce soir là nous n'avons pas fait l'amour, nous avons juste dormis dans les bras l'un de l'autre en regardant un film . . . enfin j'étais plus intrigué par lui que par la machine.

Certes pendant qu'il était en vacances chez ses grands parents au Nord de l'Allemagne, dans un petit village nommé Kiel, on se téléphonait ou s'écrivait des emails, mais ce n'est pas pareil que le contact physique, et la présence humaine, le fait d'être juste bien quand une personne est là. Leipzig parait tellement plus petit quand il n'est pas là. Déjà qu'il n'y a pas grand-chose à faire ici, heureusement qu'Andréas et Liam ont su me passer le temps.

« Tom, arrêtes de rêvasser et prépare toi, tu ne vas quand même pas être en retard le premier jour »
« T'inquiètes pas maman, j'suis presque prêt. »

Ma mère est toujours derrière mon dos, mais je la comprends elle me protège. Je me souviendrais toujours du jour où elle est rentrée dans ma chambre sans frapper. Elle sait désormais qu'il y a une barrière à mettre et que je ne peux pas rester son petit garçon pour toujours. Depuis elle le regard toujours de travers à chaque fois qu'il vient à la maison, qui aurait cru que moi Tom Kaulitz, le bon petit fils à sa maman aimerait un garçon ? Et surtout qui aurait cru que je me laisserais dominer. Elle pense que c'est juste une passe, que demain je reviendrais à ce que les autres appellent 'normal', mais je l'aime plus que jamais. J'aime la façon dont il me regarde tendrement, la douceur de sa peau, son doux parfum vanille qui m'enivre et qui me donne envie de le croquer à chaque instant, ses cheveux noirs méchés de blanc qui lui tombent sur les épaules, son sourire malicieux et cet air enfantin qu'il possède et qu'il use pour obtenir ce qu'il veut.

« Tu es prêt ? Je t'emmène alors ! »

Je prends juste le temps d'embarquer une pomme que je mangerais plus tard et je monte dans la voiture de ma mère, qui tient comme chaque jour de rentrée à m'emmener au lycée. Elle n'a pas comprit qu'à 18 ans je pouvais prendre ma voiture et y aller tout seul. En fait, je suis sure qu'elle veut voir Bill. Je sais qu'elle a du mal avec lui, mais elle fait des efforts pour moi, et ça me touche beaucoup. J'arrive enfin devant « Mendelssohn » mon lycée, toujours les mêmes visages, mais je tiens bon c'est ma dernière année, après je m'enfuis loin d'ici.

« A ce soir mon poussin ! »
« Maman ! »
Ses yeux s'embrumèrent et elle me regardait avec un air triste et fier à la fois « Oh Tom, je suis tellement contente » Elle passe sa main dans mes dreds « Tu as tellement grandit, je suis fier de toi tu sais ? »
« Maman tu sais c'est juste la rentrée hein ! »
« Nan Tom c'est plus que ça, c'est la dernière fois que je te conduis au lycée, tu es devenus tellement beau mon chéri, je suis sure que toutes les filles doivent craquer sur toi. »
Je la regarde et souffle d'un air lasse. « Je sais tu es avec Bill, mais qui sait . . . »
« Je t'interdit même de penser à ça ! Que tu le veuilles ou non, c'est comme ça, j'aime B . . . »

Quelqu'un frappa sur le dessus de la voiture, et enfuis son visage par-dessus la vitre, que j'avais ouverte auparavant, s'appuyant sur ses bras. Une telle manucure, une peau si laiteuse, et un sourire radieux ça ne peut être que lui.

« Bill ! »
« Bonjour Madame Kaulitz » dit-il avec un sourire éblouissant. Je n'avais même pas remarqué que ses mèches blanches avaient disparu pour laisser place à une chevelure noire corbeau.
« Bonjour Bill, comment se sont passés tes vacances ? Tes parents vont bien ? » Ma mère n'en pensait pas un mot, sûrement même qu'elle s'en fichait. Même les parents de Bill n'étaient pas vraiment pour cette relation, pensant que les études valaient mieux qu'un simple flirte.
« Oh bien, la famille vous savez comment c'est, mes parents vont bien, enfin je pense ! Disons que je ne vis plus avec eux, j'ai eu mon propre appart à deux pas du lycée . . . »
Je lui lance un regard étonné « T'es sérieux ? Pourquoi tu ne m'en as pas parlé ? »
« En fait mes parents veulent que je fasse de la collocation, et donc si tes parents sont d'accord, j'ai pensé que . . . »
« Il en est hors de question ! » Ma mère avait les mains agrippées sur le volant, les lèvres pincées, et toujours ce regard plein de larmes qui disparaissaient petit à petit. « Comment gères-tu le loyer et toutes ces choses ! Si jamais Tom viens avec toi, je sais très bien comment ca va se passer, j'en ai déjà eu un extrait ! Ni l'un ni l'autre n'auraient son Bac ! »
Je commence à pousser Bill pour qu'il me laisse sortir de la voiture, mes joues ayant rosies un peu, mais pour Bill aucun malaise ne peut se lire dans son expression.
« Vous savez, avec tout le respect que je vous dois, j'ai de très bonnes notes, certes je ne suis pas le premier de la classe, mais mes 17 de moyennes me satisfont amplement. Pour le loyer, je travaillerais les week-end chez Micky . . . »
Alors que j'ose à peine faire face à mes parents, Bill sait totalement et toujours comment remettre les gens à leur place. Micky c'est le fast-food au coin de la rue, beaucoup de jeunes y vont, et le directeur donne la priorité aux étudiants pour bosser dedans. Je sors de la voiture, claque la porte et me penche à la place où Bill se trouvait pour dire à ma mère.
« Ce soir je ne rentre pas, j'irai sûrement dormir chez Bill ! »
« Bonne journée Madame Kaulitz ! »

Ma mère n'en revient toujours pas que je la laisse en plan comme ça, à vrai dire moi non plus. Bill me donne la main et on rentre dans le bâtiment en se dirigeant dans les toilettes. Une fois à l'intérieur, Bill me pousse contre le mur en carrelage et vient se coller à moi.
« J'en reviens pas ! Pour une fois que tu ne demandes pas la permission à tes parents ! » Son sourire est tout simplement craquant, je l'enlace dans mes bras. « J'aime ce nouveau Tom, mais l'ancien va beaucoup me manquer, d'ailleurs il m'a torridement manqué durant ces derniers jours, ma main droite n'est définitivement plus utile » Je rigole surpris de cet aveu, il se serre plus contre moi et dépose ses lèvres contre les miennes. Il happe ma lèvre inférieure, titillant mon piercing, sa langue humidifie ma bouche, je viens la sucer et jouer avec son piercing. On gémit, c'est si bon, il m'a tellement manqué, c'est ça le contact qui m'a manqué pendant ces quatre dernières semaines. Il frotte son bassin contre le mien, je gémis un peu plus fort, et je le sens sourire contre mes lèvres. Je caresse doucement ses fines hanches, et lui caresse ma nuque, un frisson me parcours, j'aime tellement cette sensation. Je prends le temps de respirer pour lui chuchoter « Bill je t'aime », il sourit et se rapproche encore plus de moi.
« Tom, tu crois qu'en vingt minutes, je peux te montrer à quel point c'est moi qui t'aime le plus ? »
Je le fixe intriguer, il se mord la lèvre inférieure, pose sa main sur mon entre jambes, je bande. Il prend mon autre main dans la sienne, et il la pose sur son entre jambe, il bande. Je vois où il veut en venir. Avec fougue je me jette sur lui, il recule doucement, on s'embrasse avec passion, faisant tourner nos langues ensemble. Arrivés dans une cabine, il ferme à clef, se retourne vers moi.
« Qui aurait crut qu'on le ferait dans les toilettes du lycée ?! » on rigole c'est vrai qu'il était très rare qu'on côtoie les toilettes du lycée, et surtout ensemble, mais là l'envie était plus forte que tout.
Je lui réponds « Au moins étant donné que c'est le premier jour, ils sont plus que propres ».
Bill se met directement à genoux devant moi, je le regarde, nos yeux se croisent, ils deviennent de plus en plus noirs tellement le désir monte en nous. Il prend les bords de mon t-shirt fait glisser ses mains en dessous, et il frotte ses paumes contre mon érection, mon bas ventre, mes abdos, mon torse, mes clavicules. . . Je retire vite ma casquette, et mes bandeaux, et il me retire mon vêtement.
« Tom quand est-ce que tu comptes t'habiller avec des vêtements plus facile à enlever ? »
Je souris, et il se rapproche, ses mains derrière ma nuque, ses lèvres contre mon cou. Il adora me faire ça, qu'il laisse une marque ou non, mon cou l'a toujours attiré, je sens qu'il lèche ma peau sensible, et qu'il l'aspire. Je ferme les yeux pour apprécier ce moment.
« J'ai tellement envie de toi, je me faisais chier chez mes grands parents, j'ai pas arrêté de penser à ce jour, pour la première fois que je suis heureux de rentrer en cours ».

Bill a changé sans arrêt d'endroit, et donc c'était dur pour lui de se faire des amis, il est arrivé ici il y a deux ans, la première année je ne le connaissais pas, j'avais du le remarquer à la fin de l'année, il était avec un garçon et ils s'embrassaient. C'est à ce moment là que j'ai sentit un papillonnement dans mon ventre, pendant tout l'été je me suis posé des questions, et à la rentrée l'an dernier on est tombé dans la même classe, on est tout de suite devenu très proche. Il m'a dit direct noir sur blanc qu'il était homosexuel et qu'il était fortement attiré par moi. Plus tard, il m'a invité chez lui, j'ai accepté sa proposition, et c'est dans sa chambre qu'on a échangé notre premier baiser, j'ai été très perturbé, j'ai beugué à ce moment là. Il m'a regardé comme pour me demander si ça allait, et je me suis jeté sur lui pour reprendre le meilleur baiser de ma vie. Depuis on ne se lâche plus. Ca a été difficile au début pour mes parents de voir Bill tout le temps chez moi, ils pensaient que j'avais oublié Andréas et Liam, mes meilleurs amis, mais ils ne comprenaient pas qu'avec Bill c'était différent, jusqu'au fameux jour où ma mère nous a surprit alors qu'on faisait l'amour dans mon lit, Bill venait de se vider en moi, et moi j'étais toujours raide comme un piquet. On s'est rhabillés, Bill rigolait, moi j'étais mal à l'aise, et il m'a dit pour la première fois « Je t'aime » et il a déposé un doux baiser sur ma tempe. C'est à partir de là, à partir des trois mois passés que j'ai décidé d'assumer totalement ma relation avec lui face à mes parents. Mon père s'en fichait, pour lui la nature est faite ainsi et on ne peut pas la contre dire, ma mère, en revanche, a souvent essayé de me faire résonner maintes fois, mais ce sentiment on ne le contrôle pas.

Bill descend ma braguette, faisant glisser mon baggy sensuellement le long de mes jambes, il léche mon sexe à travers mon boxer, et je gémis.
« Tu aimes ça ! »Je croise son regard érotique un instant, puis mon boxer rejoint mon baggy, il approche son visage de mon pénis et souffle dessus. Je me penche, prend Bill par les bras pour le remonter à moi, je me décolle du mur sur lequel je suis pour le plaquer à son tour sur le mur d'en face.
« Qu'est-ce que tu fais mon chéri ? » Sa voix n'a pas un soupçon mais énormément de provocation.
« Je vais te déshabiller (glissant mes mains sous son t-shirt), te caresser (lui retirant), je vais aussi t'exciter (débouclant son jean) et . . . Mince Bill quand est-ce que tu comptes t'habiller avec des vêtements plus faciles à enlever ? » Bill rigole, et je prends possession de ses lèvres, et les embrasses aussi fort que je le peux, il répond à mon baiser avec autant de volonté et de folie que moi. « Et donc ensuite je vais t'embrasser (enlevant enfin son jean et son boxer en même temps) ». Je m'agenouille devant lui l'aide à retirer ses vêtements au bas de ses pieds, il me fixe de son regard envoûteur, il pose ses mains sur le haut de mon crâne, jouant avec quelques dreds.
« Tu sais Tomi t'es pas obligé de . . han ». Je suçote le bout de son sexe, et malaxe doucement ses testicules à l'aide de ma main droite. J'embrasse son étoile, la lèche, la caresse, je commence un doux va et vient régulier. « Tom . . . je te veux, on, han, n'a pas l'temps ça . . . oh oui, bordel ! » Je rigole j'adore le mettre dans cet état, j'arrête donc ma fellation, me lève, je me retourne afin de poser mes deux mains à plat sur le mur, je cambre mon dos, et tourne ma tête avec un sourire tentateur.
« Alors qu'est-ce que tu attends pour me prendre ? » Bill s'approche, posant ses mains sur ma chute de reins, il dévore mon cou, ce qui a pour but de me faire gémir. Il caresse gentiment mes fesses, les griffant légèrement avec ses ongles, ce qui me donne un frisson qui me parcourt entièrement. Il colle son torse à mon dos, je sens son souffle dans mon oreille, c'est très sensuel. Il glisse ses fines mains sur mes flancs, me caresse le torse, pince mes tétons et il remonte deux doigts à ma bouche que je suce sans retenue. Pendant que je joue avec sa main droite, il caresse mes côtes, et lèche mon épaule, il y a tellement d'envie que s'en est presque étouffant. Il fait glisser ses doigts le long de ma colonne vertébrale, touche ma raie, et arrive à mon entrée. Je me cambre d'avantage, et il fait pénétrer son doigt à l'intérieur très vite suivit du deuxième. Je me crispe un peu, un mois sans avoir eu cette sublime sensation, ce n'est pas évident. Il répète le mouvement plusieurs fois.
« Ca va ? »
« Bill, merde ! Prends moi ».
Je l'entends rire derrière moi, il retire ses doigts, il attrape mes hanches se place derrière moi, et s'arrête.
« Tom, t'as du lubrifiant ? Ou une capote ? »
« Regardes dans mon baggy. »
Bill me regarde « T'avais déjà prévu qu'on fasse l'amour ? ». Je me retourne et fais face à Bill, il me sourit je comprends plus trop il y a à peine deux secondes ça sonnait comme un reproche et là . . . Il se colle à moi et me plaque au mur, le froid sur mon dos me fit frissonner. Il chuchote à mon oreille « Dis Tomi, tu m'aides ? » Son air enfantin revient à grand pas, je prend le petit sachet plastic l'ouvre avec mes dents, jette le papier d'emballage au sol, et vient déposer le préservatif sur son gland, il vient caresser mes mains et je déroule doucement l'objet lubrifié sur son sexe, il se mord la lèvre inférieur, je l'embrasse dans le cou et il se colle à moi. Il glisse sa main sur ma fesse la descend sur ma cuisse, et relève ma jambe.
« Bill . . . »
« Comme ça ! » Il amène son sexe à mon entrée, et me pénètre doucement mais difficilement. La position n'est pas la plus adéquate, je me sens carrément comme une fille se faisant prendre vulgairement dans les chiottes d'une boîte de nuit, sauf que je suis avec Bill, et qu'on est au lycée et qu'on se désire passionnément. Bill se rapproche de moi, il plaque nos torses l'un contre l'autre, il m'embrasse le cou tout en me pénétrant, j'entoure une fois de plus sa nuque de mes bras, je voudrais rester comme ça toujours, pour toujours. Je respire le parfum dans ses cheveux, il accélère la cadence. Bill s'appuie sur le mur derrière moi, son souffle se saccade tout comme le mien, il lève un peu la tête, il est tellement beau comme ça, ses cheveux comme à coller sur son front humide. Je resserre ma jambe autour de lui, nos regards se croisent, je m'empare de ses lèvres je les lèche, avant d'infiltrer ma langue à l'intérieur, tout mouvement de pénétration s'est arrêté, mais il est toujours en moi, sa langue est très envieuse, comme si cela était un baiser d'adieu, il lèche les contours de ma bouche, et caresse mon palais, je fais de même. Nos nez se frôlent, il se retire, je le regarde, il baisse le couvercle des toilettes et s'assied dessus, il tend les bras vers moi « J'en peux plus, dit-il a bout de souffle, viens sur moi ». J'avance doucement vers lui, je m'assieds sur lui et lui fait face. Je l'embrasse de nouveau, je me relève doucement, pose mes mains sur ses épaules et m'empale sur lui, c'est à moi de contrôler le rythme, mais c'est tellement bon, en me cambrant légèrement j'arrive à lui faire toucher ma prostate.
« HAN ! Bill . . . c'est divin ». Il me serre dans ses bras et lèche mes tétons.
« Tom han . . . va plus vite ». J'accélère comme je le peux, la sonnerie qui nous annonce le début des cours retentit, j'allais me relever pour me dépêcher de m'habiller au plus vite, mais Bill me tient coller à lui. Il attrape mon sexe dans sa main, et je reprends mes va et vient, ma tête se lance vers l'arrière, on gémit si fort tous les deux. Il serre plus mon sexe, et je contracte d'avantage mes muscles autour de son pénis. « HAN, Tomi . . . OUI ! ». Il se libère peu après en moi, tout essoufflé il continuer de me masturber mais encore plus fort.
Je gémis « Han, HAN OUI, Bill, Bill, Bill . . . oh mon dieu » Je me vide dans sa main, on s'embrasse encore et toujours. Je me relève, et remets mes vêtements, il fait de même et essuie sa main dans du papier toilettes, il me regarde juste avant qu'on sorte des toilettes, rajuste ma casquette et m'embrasse le bout du nez.
« Alors ? Qui aime le plus son Tomi ? » Ses yeux sont brillants, je l'enlace, baise sa joue, et on sort des toilettes mains dans la main. A peine la porte claque derrière nous, que le proviseur nous dévisage de haut en bas, les bras croisés.
« KAULITZ ! TRUMPER ! Dans mon bureau immédiatement !!! ». Pris en flagrant délit.

Fin du Flash Back.

Voilà comment on s'est retrouvé collés pendant un mois, et qu'on s'est fait virer le jour même de la rentrée. Au mois on a pu finir correctement ce qu'on voulait dans le nouvel appartement de Bill.


ALORS ??? VERDICT??
Ahhh au fait, Sonia, ta fiction tu l'as arrêté? parce que tu me préviens plus depuis longtemps !

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